mercredi 23 juillet 2008

Un jean vraiment taille basse



Vu sur le parvis de la fnac voilà quelques semaines...

samedi 19 juillet 2008

Dans Le Tram

La belle hispanique, qui voyage sans ticket et ne parle pas un traître mot de français, a beau montrer sa culotte au contrôleur, elle écopera quand même d'une contravention.

vendredi 18 juillet 2008

Dans Le Tram

Ho ! toi, tu viens d'aller chercher chez ton marchand de journaux le vingt-cinquième fascicule de "L'Agence Tout-Risque" avec son DVD.

jeudi 10 juillet 2008

jeudi 3 juillet 2008

Voisins, voisines


Quand je pense que je m'étais indigné de voir ma voisine cracher par dessus son balcon...
Là, je crois que c'est le pompon !

samedi 28 juin 2008

MY ROCK RECORDS 11


Je me suis récemment offert aux puces le premier album de Yazoo, "Upstairs at Eric's".

Bon, j'avais déjà le vinyle original, acheté à l'époque avec mon argent de poche, un de mes tous premiers 33 tours, mais il dort paisiblement dans un carton chez mes parents, à 300 km de là. Du coup, j'ai rapidement cédé à la tentation de goûter à nouveau cette petite madeleine électronique, le prix, 1 €, y étant certainement pour quelque chose.

Créé par Vince Clarke ( ex-membre fondateur de Depeche Mode, auteur-compositeur du fameux "just can't get enough", futur Erasure, rappelez-vous, "Ohhh l'amour...", c'était lui ) et sa copine de lycée, Allison Moyet, ce duo electro-pop new wave a fait danser la planète entière en 1982 avec son hit monstrueux "Don't Go".

Porté par ce dernier et par le tube "Only You" ( rien à voir avec les Platters, il sera repris sous nos latitudes par ... Mireille Mathieu ), l'album recèle quelques pépites : "Goodbye 70's", ode définitive aux balbutiantes années 80 et déjà amère dans son constat, "In my room" et ses ambiances super dark, ou encore "Bring your love ( didn't I )", mais il faut néanmoins pouvoir s'accomoder du contraste évident créé par la voix pseudo-soul de Allison Moyet et le son glacé des machines de Vince Clarke. Bien que marque de fabrique du groupe, cet aspect là peut dérouter quelque peu.

A noter, "Tuesday" dont les lyrics dans la langue de Molière en fond sonore rappellent sans équivoque le "devenir gris et l'homme dans une gare isolé" de "Fade to grey" de Visage.

A noter également l'omission sur la version CD de "I before after C except E", étrange palabre expérimental au profit plus consensuel des versions maxi de "The other side of love" ( issu en fait du second LP, "Nobody's Diary ) et de "Situation", autre énorme succès du groupe, qui ne bénéficia à l'époque que d'une sortie en single.

Il est intéressant de constater que plus de 20 ans après et malgré les considérables progrès techniques réalisés depuis, l'album sonne encore aujourd'hui résolument moderne. Bon, ok, j'avoue, les boîtes à rythmes ont pris un léger coup de vieux mais ça confère à l'ensemble un petit charme suranné non dénué d'intérêt.

A redécouvrir donc...

dimanche 22 juin 2008