Bon, ben sans surprise, je me suis bien sûr précipité chez le dernier dealer de cd's de la ville pour investir dans le nouveau phénomène pop new wave du moment. Ça a la couleur de Daho (la forêt) et de Taxi Girl (quasiment tout le reste). On peut dire ce qu'on veut, y a quand même quelque chose des Armées de la nuit dans les paroles de Ljubljana. Même les Indochine époque Dominique Nicolas sont convoqués sur le titre Los Angeles pour cette grand messe du revival "jeunes gens modernes". C'est joliment fait, méchamment dansant pour peu qu'on soit du genre neurasthénique, certains titres sont entêtants (Tokyo la nuit, en boucle pendant trois jours du matin au soir) mais les références restent trop visibles. Un manifeste ? Plutôt un concours...Ah, là, le riff de guitare, c'est quasiment du Joy Division, Oh, l'intro, là, ce serait pas la même que Visage, Fade to Grey ? La Forêt ? Et pourquoi pas dix-sept secondes tant qu'on y est...
L'album devient même répétitif sur la fin, mais bon, j'arrête de me plaindre, voilà trop longtemps que j'attends le retour de la cold wave en France.
Juste après la première écoute, je me suis envoyé un petit "la notte, la notte", comme une évidence.
mardi 16 octobre 2012
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2 commentaires:
Prochain album : "Désintégration"
Concert de dessins pour Angoulême 2013 : Lescop et Bastien Vivès. Ah ah. Arg.
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